Les Rathures

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J’ai initialement proposé ce texte pour le concours annuel de poésie organisé par la RATP. Malheureusement, mon texte n’a pas été retenu… Soit parce qu’il n’a pas plu, soit parce qu’ils n’ont pas apprécié le parti pris du texte. Le thème était libre. Je vous laisse vous faire votre avis.

Tu me regardes m’afficher sur les murs,

Je me lis sur tes lèvres, tu me chuchotes.

Je prends vie dans la douceur de tes murmures,

Comme un désir langoureux que l’on cachotte,

Plaisanteries enfantines perchées sur les quais,

J’attends que tu me répètes, jeu du perroquet.

Défilent les rames et les trams de tout Paname,

Les gens à cran, ancrés sur leurs écrans secrets.

Mais toi tu me lis, tu me donnes une âme,

Qui peut dire entre nous, ce lien qui se crée?

Ou que tu ailles, prochain arrêt, six stations,

Emporte-moi avec toi, ta récitation,

Souffle la vie, je rêve que tu me déclames,

Un instant, remplacer la mortelle réclame.


Merci de votre lecture!

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2 Commentaire(s)

  1. trop sensuel pour faire la réclame de la publicité, mais les lignes sont jolies à lire; elles auraient facilement défiler de station en station, de rames en rames. Difficile de plaire à tout le monde. Ce n’est pas là l’important.

    1. Merci pour ce gentil commentaire. Je suis entièrement d’accord, le plus important reste le plaisir que j’ai pris à travailler sur ce poème et à le partager avec vous!

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